La semaine dernière, le Président de la Commission d’examen des événements du printemps 2012, Serge Ménard, avait déposé son rapport de plus de 450 pages où plusieurs recommandations et reproches avaient été mentionnés. Depuis sa diffusion par Lise Thériault, les critiques n’ont cessé de fuser par plusieurs parties concernées par ce dossier dont les libéraux et les représentants des services de police. Ces critiques ont poussé M. Ménard à vouloir s’exprimer sur le sujet pour justifier les données publiées dans le rapport.
Il s’entretiendra avec plusieurs supports médiatiques afin de tirer les choses au clair. Il regrette énormément le fait que son rapport ait été mal jugé et se demande si ces personnes l’ont vraiment lu pour le critiquer. Selon des informations publiées par nos confrères du Devoir, M. Ménard s’est dit très déçu du retour qu’il a reçu après la publication de son rapport et déçu surtout par le comportement des libéraux et des quelques policiers. Il a ajouté qu’il n’avait aucun intérêt à prendre parti de quiconque dans ce dossier et qu’il n’a fait que son travail celui de constater les faits suite aux événements du Printemps 2012.
Il invite les personnes ayant critiqué son rapport de le lire entièrement et de ne pas se pencher que sur les points qu’elles veulent, mais plutôt sur le contenu au complet. Il a ajouté que le rapport ne contient pas que des recommandations et des reproches, mais aussi des encouragements notamment pour le corps policier qu’il a applaudi. Pour M. Ménard, ce rapport englobe toutes les données en relation avec les événements des manifestations qui se sont déroulées en 2012 et il sera un important outil pour la suite et pour les prochains dirigeants. Selon des informations du Devoir.
Joseph Marie
QUAND MÉNARD IGNORE AVEUGLÉMENT LA MACHINE POLITIQUE À FAIRE DES ÉLECTIONS PAR LE TROUBLE QUE SONT LES SYDICATS, IL Y PERD TOUTE CRÉDIBILITÉ.
C’est la nature humaine que de regarder et de critiquer ce que l’on veut. On en parle pour une semaine et pis… un autre rapport qui va être ranger sur les tablettes de l’oublie. Presque tous les rapports de commission subissent le même sort…