Selon un rapport déposé par l’Institut de recherche et d’informations socio-économiques (IRIS), la pratique privée qui avait été introduite dans le système de santé Québécois n’a malheureusement engendré aucune évolution. Selon le rapport de l’IRIS, les objectifs attendus n’ont pas été atteints.
Avec la création d’autres centres, d’autres agences de santé avec une multiplication de postes de travail, n’ont malheureusement permis aucune productivité, bien au contraire. Le coût n’a pas été réduit d’où la mise en cause des changements de structure effectués. Selon le rapport de l’IRIS, le résultat n’est pas celui escompté. Il confirme l’existence de bureaucratie dans le système.
L’institut pense que les points mis en avant lors de la mise en place de la pratique privée restent très intéressants sauf qu’ils restent opposés au système public. Les méthodes de pression et de quantification appliquées sur le personnel soignant ont indirectement engendré une déviation complète du but premier visé par cette réforme à savoir la baisse des coûts de la santé. Selon des informations de La Presse.
François Xavier