Aucune enquête ne sera ouverte par le Bureau de la régie interne des Communes concernant les deux présumés cas d’harcèlement dont ont été pointés du doigt deux députés fédéraux libéraux, Massimo Pacetti et Scott Andrews.
Ces deux derniers avaient été suspendus suite à la décision du chef du Parti Libéral, Justin Trudeau, qui avait été approché par deux députées du Nouveau Parti démocratique les accusant de comportement choquant. Lors d’une conférence de Presse, M. Trudeau avait évoqué une faute personnelle et avait demandé l’ouverture d’une enquête et ce en collaboration avec les whips des deux partis.
Aujourd’hui, les deux députées du NPD, qui ont préféré garder l’anonymat, ne sont pas prêtes à aller plus loin dans cette affaire. D’ailleurs, elles ne voulaient pas que cette affaire s’ébruite dans les médias et auraient préféré que l’affaire soit réglée en interne. Selon les déclarations de la whip du Nouveau Parti démocratique (NPD), Nycole Turmel, les deux députées ne comptent pas déposer plainte. Cette affaire a poussé Thomas Mulcair, chef néo-démocrate, a proposé la mise en place d’un code de conduite sur le harcèlement au Parlement. Selon des informations de La Presse Canadienne
Marie Catherine