Depuis le début de cette campagne électorale, le Parti Libéral se détache en assurant sa place en tête de peloton. Plusieurs sondages effectués ces derniers jours afin de faire connaître les intentions de vote des Québécois ont démontré à chaque fois le classement en tête du PLQ suivi par le Parti Québécois en deuxième position et la CAQ à la troisième marche.
Selon le dernier sondage diffusé par le Journal de Montréal, il a été relevé que 38% des personnes interrogées étaient prêtes à suivre le Parti Libéral contre 29% qui se sont prononcées pour le PQ et 23% pour François Legault. Ce dernier a réussi à remonter la pente en décrochant des points décisifs. Si ces intentions de vote se concrétisent ce lundi soir, le Parti Libéral sera élu et nominera son prochain gouvernement.
Cette défaite serait un coup dur pour Pauline Marois, selon l’AFP. Cette campagne électorale avait pour but de décrocher la majorité de sièges pour le PQ, mais il semblerait que les choses sont allées de travers si les intentions de vote deviennent réalité. Les chefs des partis candidats ont donné leur maximum pendant les derniers jours les séparant du scrutin.
Ils ont essayé de rallier à leurs causes le maximum de personnes dont les indécis. Ces derniers ont été la cible des chefs des Partis Politiques. Pour Pauline Marois, rien n’est encore joué et tout est possible. Pour la chef du PQ, elle reste confiante et appelle ses militants à se mobiliser. Elle étudiera les choses l’heure venue et ne précipitera en aucun cas les choses avant la concrétisation des votes et la diffusion des résultats.
Marie Catherine