Depuis plus de trois jours, les équipes de recherche Malaisiennes, Vietnamiennes et Américaines doublent d’efforts afin de trouver un signe ou même un quelconque indice sur la disparition du Boieng 777 de la compagnie Malaysia Airlines qui avait à son bord 239 personnes dont 12 cadres d’équipage. Afin d’essayer de retrouver l’avion, des milliers de mètres carrés ont été parcourus en mer par des hélicoptères, avions de secours et bateaux. Toute la zone, où l’avion avait envoyé ses dernières coordonnées de vol, est vérifiée et ce entre la côte nord-est de la Malaisie et le sud-ouest du Vietnam.
Après les diverses hypothèses présentées dont la possibilité d’un retour de l’avion vers Kuala Lumpur, les enquêteurs ont décidé d’élargir leurs recherches au niveau de la Malaisie dans le détroit de Malacca et au nord dans la mer d’Andaman. L’Interpol a écarté la possibilité d’un attentat terroriste et son secrétaire général « Ronald K. Noble » a déclaré que vu les données et les renseignements collectés jusqu’à l’heure, les possibilités d’un attentat restent très minimes. Sur la liste des voyageurs ayant embarqués à bord de l’avion se trouvaient deux personnes qui avaient utilisé des passeports volés. Après investigations, il s’est avéré que l’un des deux hommes était un jeune iranien âgé de 19 ans.
Ce dernier essayait de rejoindre l’Allemagne via Pékin pour une éventuelle demande d’asile. Pour les enquêteurs, il est certain que les deux personnes n’ont rien avoir avec la disparition de l’avion. Pour lui, il serait possible que des voyages clandestins via des passeports volés auraient été organisés lors de ce vol. Selon des informations de l’AFP. Les recherches continuent et toutes les pistes sont étudiées par les enquêteurs.
Jean Baptiste